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Critique du draft de Directive Copyright et son article 13 qui impose un filtre à la Content ID à l'upload de fichier.
[Je pensais que le lobbying pour faire partir ces mentions avait fonctionné. Apparement pas.]
"Under the Copyright Directive, this mass filtering, monitoring and blocking of our speech, our memes and our parodies must be carried out based on cooperation between rightsholders and (whatever is left of) the internet companies – no mention of actual people."
Pas encore regardé en entièreté. J'aime beaucoup l'idée et l'intro. Et de voir que Framatube est encore nourri.
Le projet de refonte de Roundcube qui avait levé 100.000 $ en crowdfunding, a plus eu de commit depuis Novembre.
Et la dernière news sur IndieGogo date d'il y a un an et commence par "désolé de pas avoir donné de nouvelles depuis longtemps".
Zut. Ça arrive, mais zut.
"Radiowiki se veut être une radio qui diffuse des informations à destination des communautés du Libre et de l’Open Source mais elle se veut aussi "généraliste" avec des rubriques plus traditionnelles (des informations nationales, de la météo, des infos cinéma...) et, bien évidement de la musique !
Le contenu "Informatique et Open Source" prend encore peu de place mais il y a déjà quelques news, l’Agenda du Libre et des emplois (Linuxjobs.fr) !
Il y a deux façons d’écouter Radiowiki :
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au travers d’un mini-site web avec lecteur intégré, à l’adresse http://radiowikifr.playtheradio.com
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en intégrant directement le flux http://listen.radionomy.com/radiowikifr dans un lecteur approprié tel Radiotray pour Linux.
"
We have come to the conclusion that a move to a non-Mozilla organization will be a major distraction to addressing technical issues and building a strong Thunderbird team. Also, while we hope to be independent from Gecko in the long term, it is in Thunderbird’s interest to remain as close to Mozilla as possible to in the hope that it gives use better access to people who can help us plan for and sort through Gecko-driven incompatibilities.
Le soft que Framasoft utilise pour sa page de statut. A tester.
0_0 Donc, il y a moyen de prendre contrôle sur le matériel sur lequel AMT est activé, sans mot de passe admin.
Tout. Va. Bien.
"[Update, 5:40pm EDT] A query of the Shodan security search engine found over 8,500 systems with the AMT interface exposed to the Internet, with over 2,000 in the United States alone:".
En espérant qu'il y ait des honeypots dans le tas.
:-D
Fonctionne comme un charme
(...)
L’émancipation partira de la terre et de la chair, mais elle sortira aussi du numérique. Et elle impliquera de se réapproprier toute cette chaîne logistique digitale aujourd’hui intégralement privatisée et aliénée : aussi bien les câbles et la fibre que les nœuds du réseau, les antennes, les VPN, les routeurs, tout autant que les centres de données (datacenters) qui sont les ultramodernes forteresses de nos solitudes connectées.
Et en aval des « fournisseurs d’accès » (tout un poème), penser la totalité de nos pratiques en matériel libre, comme en logiciel libre : ordinateur et téléphone libre, électronique libre, caméra libre, baladeur, console, imprimante 3D libre. Tout un écosystème technique qu’on puisse se fabriquer, se bricoler, se partager, mettre en commun et qui échappe à l’empire du traçage gafesque.
L’enjeu des serveurs est particulièrement fort, tout comme la possibilité d’imaginer des centres de données autonomes, des zadacenters autogérés, nichés dans nos ZAD, et alimentés en énergie renouvelable. Cela pourrait déboucher non plus sur un darknet, mais un rednet ou un greenet — lieu d’expression et d’échange indépendant des monstres siliconnés.
De nombreux logiciels et matériels libres existent déjà (et même des réseaux sociaux libres). L’enjeu semble surtout (mais c’est complexe) de les associer et de les articuler intelligemment, de tracer une ligne pure et libre qui aille du zadacenter au traitement de texte où je taperai ces mots. C’est un bel horizon à atteindre pour s’émancyber là où aujourd’hui on cyberne dans nos hivers numériques, en se faisant berner.
Plus globalement, la pratique des faiseurs (makers), des hackers, des bricoleurs, qui s’incarne si bien au quotidien dans les ZAD et les tiers-lieux est l’une des renaissances qu’on veut porter plus loin. Parce qu’un individu qui fabrique ses propres outils apprend à les comprendre et à les détourner, apprend à se les approprier et à s’en émanciper. Il comprend aussi vite à se désaliéner des logiciels-pièges et des dispositifs addictifs.
Beaucoup de gens ignorent l’empire du libre. Peu savent qu’il existe des éoliennes, des panneaux solaires et des pompes à chaleur qu’on peut construire soi-même, des techniques de traitement des eaux détaillées et réutilisables par des profanes, des machines à laver libres, des voitures et des motos libres, du matériel médical et des médicaments libres — et même des montgolfières libres. Apprendre et faire apprendre — où se faire apprendre par d’autres comment ça marche et comment ça se fabrique — est une source de joie et d’éclate, un empuissantement à portée de main et évidemment un moment d’échanges et de partage, d’élaboration commune. Et au bout, on touche une autonomie croissante et précieuse.
(...)
Site officiel.
Je note qu'il semble gérer les shadowcopies sous Windows ("Consistent backup of used files") et qu'il fait du backup de partition complète, sous Windows uniquement.
Sous le coude. J'aime bien l'idée d'avoir un client cli mais avec une interface web si nécessaire quand on travaille avec des personnes un peu allergiques au shell.
"Urbackup est un logiciel de sauvegarde en mode client/serveur dont le client comme le serveur peuvent fonctionner à la fois sur Linux, Windows et macOS. Il effectue des sauvegardes incrémentales et fait de la déduplication de données. Le client Linux possède une version graphique et une version headless."
Outils d'exploration des méta-données de l'historique de navigation et exemple des infos remontées sur l'historique du dev.
Conçu pour sensibiliser les eurodéputé à l'heure de l'ePR (règlement qui devrait remplacer la directive e-Privacy).
Relevant aussi à l'heure de la vente aux US des l'historique de navigation par les ISP (cfr http://www.independent.co.uk/life-style/gadgets-and-tech/news/donald-trump-internet-browsing-history-bill-chrome-federal-communications-commission-a7665821.html)
les rédacteurs du DSM-5 ont retenu le diagnostic du psychiatre chinois Tao Ran, lequel repère l’addiction à partir de « six heures de connexion quotidiennes durant plus de trois mois, hors activités scolaires et professionnelles ». Mais au nom de quelles normes et de quelles valeurs élabore-t-on un diagnostic scientifique qui hiérarchise des pratiques sociales en fonction de leur productivité économique ? Quand il retranche de l’addiction à Internet le temps de travail et d’apprentissage, le Dr Tao souligne en creux l’impensé de cette notion. Dans un univers marqué par l’injonction professionnelle et éducative à la connexion permanente, une frontière morale séparerait pratiques saines et pratiques pathologiques en fonction d’un critère implicite d’utilité économique.
Ou comment se prendre en un texte une belle claque rappelant tant la nécessité et la possibilité d'une Justice qui ait le temps et les moyens d'aller au-delà des apparences. Et combien l'institution qu'est l'avocat rend cela possible. Et porte cette immense responsabilité.
La nouvelle directrice de la communication stratégique (ça veut dire quoi?) de la NSA s'est fait cybersquatter son ndd et dans le passé plusieurs de ses comptes ont été p0wnés.
Cocasse mais véniel.
Nouveau billet de calimaq, il revient sur les propos de Lessig sur les fake news et le besoin qu'il ressent d'avoir des gate keepers de l'information.
On apprend pas grand chose, mais ça fait du bien de revenir sur la capacitation qu'a permis l'arrivée du net en matière de publication (cfr le parcours de l'internaute de B. Bayart).