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Purée, le MIT a un /8 rien que pour lui.
Et j'apprends que sur le campus, un DHCP distribue ces ip's publiques librement (http://unhandled.com/2013/01/12/the-truth-about-aaron-swartzs-crime/)
Pendant ce temps, certains se tapent de CGNAT
Une "victoire" de la connaissance globalisée face au velléités de censure.
Enfin, plutôt une non-défaite.
J'aime bien cet "avertissement" de Clochix:
Héberger les services Internet de ses proches sur un serveur qu’on administre peut sembler une bonne idée [...] Mais qui devient soudain très inconfortable dès que des soupçons s’immiscent dans les relations. Quels rapports entretient réellement ma chérie avec son ex ? [...] L’inconvénient, c’est qu’on a les moyens de vérifier ses soupçons. [...] Envisager la trahison de proches n’est jamais agréable, mais on ne devrait hélas pas s’abstenir d’y penser lorsqu’on définit le modèle de menaces dont ont veut se protéger. À méditer avant de choisir de migrer vos données d’un silo vers un service ami.
D’où l'intérêt de la brique inter.net
Cela dit, quand il dit "Finalement leurs données étaient mieux protégées chez Google", il faut pas oublier le "big picture": tu as certes du pouvoir, mais sur les données d'un nombre limité de gens. Mieux vaut 1000 personnes qui ont chacun accès aux données de 5 personnes, qu'une seule qui a les données de 5000.
Même si la proximité affective peut modifier la donne, j'en convient.
Ploum fait du Ploum...
Intéressante vision historique des rapports de pouvoir comme conditionnés par les moyens de transmission de l'information.
Bien sûr, cela termine sur l'avènement d'une société tellement interconnectée qu'elle ne peut plus supporter les oligarchies actuelles.
Puisse-t-il avoir raison.
Un signe de plus de la fin du web ouvert....