2050 shaares
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Un vent mauvais souffle sur l’Occident. Chaque élection ou presque est appréciée à travers le prisme de la Russie(...)
Dans un climat pareil, on ose à peine imaginer le torrent d’indignation qu’auraient suscité l’espionnage par la Russie, plutôt que par les États-Unis, du téléphone de Mme Angela Merkel, ou la livraison par Google à Moscou, plutôt qu’à l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA), de milliards de données privées collectées sur Internet. Sans mesurer toute l’ironie de son propos, M. Barack Obama a néanmoins menacé la Russie en ces termes : « Il faut qu’ils comprennent que ce qu’ils nous font, nous pouvons le leur faire »